Enseignement : À cœur & âme – Le succès
Révéler le succès qui sommeille en nous
Un jour, je tentais d’entreprendre la recette qui me conduirait au succès. Puis, je me suis rapidement rendu compte que je n’en avais pas besoin. Pas de la recette, mais du succès. Puisque ce que cette recette m’apprit, c’est qu’il était avec moi, en moi depuis toujours. Il patientait humblement que j’en écrive ses lignes pour me remémorer sa présence, son énergie dans chacun des instants que je mène. Alors, c’est avec la plus grande des gratitudes et des reconnaissances que je porte un regard neuf à chacune de mes entreprises. Elle me communique que je suis le “succès” et que je n’ai rien à prouver, ni à lui prouver, si ce n’est l’aimer dans toutes ses réalisations, celle d’une vie que je souhaite mener, que je mène au mieux sans condition et avec la conviction que, quoi qu’il advienne, tout est juste.
Au-delà de l’apparence : la recette pour atteindre l’unité
Ma recette est des plus simples, elle est de regarder au-delà de toute apparence, de sentir et de ressentir au-delà de tout sens, de non-agir et d’agir au-delà de toute tentative illusoire, malsaine, vile. Bien évidemment, dans la conscience que j’incarne, j’admets avoir la présence de certaines limites du collectif, cependant, je fais un « travail » à ce sujet. J’incorpore dans ma recette, les ingrédients de l’abandon et du lâcher-prise. En me détachant d’un certain “niveau”, “aspect” du collectif, je peux m’inviter, encore plus, au succès de l’UN, de l’UNITÉ. Cela semble contradictoire, de se dire quitter un collectif pour, soi-disant, le manifester. Et pourtant le passage et l’acceptation de sa part d’unicité, l’écart du groupe, d’un groupe, sont essentiels à ses retrouvailles au cœur de l’UNITÉ.
Finalement, ce succès est bel et bien une histoire de composition.
Seule la recette qui te semble le plus juste, stable, équilibrée, sage dans le cœur, résonne à l’animation et aux vibrations du succès que tu es, formes, dégages, représentes.
Comme nombre d’autres choses, le succès tel que je le perçois est ineffable.
Quand tu le vis, tu le sais. Quand tu le vis, tu le dégages et tu n’as pas besoin de le montrer.
Quand tu le vis, tu te perçois autrement. Quand tu le vis, tu le vis, point !
By Caroline Boury
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